Peu investis ces dernières années dans le capital-investissement, les institutionnels français s’y intéressent de plus en plus, compte tenu de leur besoin de rendement. Mais ils conservent un grand niveau d’exigence dans la sélection de leurs gérants sur cette classe d’actifs.
"Il y a trois ans, quand nous contactions un institutionnel pour lui proposer d’investir dans un fonds de private equity, il nous opposait généralement une fin de non-recevoir sans même prendre le temps de nous écouter ! confie un professionnel. Aujourd’hui, même ceux qui historiquement n’ont jamais investi dans cette classe d’actifs étudient nos propositions."