Après le pic de l'année dernière, l'inflation a reculé dans les pays développés, principalement en raison de la baisse des prix du pétrole. Cependant, l'inflation sous-jacente reste résolument supérieure à l'objectif de 2 %, ce qui n’a pas facilité le travail des banquiers centraux et des investisseurs obligataires.
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Les obligations indexées sur l'inflation sont attractives sur le long terme
Points clés
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Malgré la désinflation, les perspectives d'inflation restent volatiles
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Les taux d'intérêt sont en territoire restrictif
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Les obligations indexées à l'inflation ont continué de surperformer leurs homologues nominales et continue d’offrir un bon compromis entre duration et inflation persistante
Il ne fait aucun doute que le sentiment de marché a été dominé par deux thèmes différents en 2023 : La persistance de l'inflation d’une part, et le timing de la fin du cycle de hausse des taux d’autre part. Plusieurs phénomènes expliquent la persistance de l'inflation, comme le resserrement des marchés du travail, la résilience des dépenses de consommation, la hausse des déficits budgétaires et les perturbations des chaînes d'approvisionnement. Aussi, la récente hausse des prix des matières premières renforce les risques de hausse de l'inflation à court terme. Les perspectives restent volatiles, même si nous ne tablons pas sur une nette accélération de l'inflation.
Les banques centrales des pays développés ont donc poursuivi leur lutte contre l'inflation en relevant les taux d'au moins 100 pb supplémentaires cette année. Selon nous, ce nouveau resserrement a eu pour effet de rendre les taux d'intérêt plus restrictifs.
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Les obligations indexées sur l'inflation sont attractives sur le long terme