Simplifier l’évaluation des tiers en BtoB est un enjeu de taille pour les entreprises assujetties. Toutefois, plusieurs obstacles se dressent devant elles comme la complexité opérationnelle de mise en œuvre de cette évaluation et la sensibilisation des collaborateurs aux enjeux de la conformité.
C'est un fait, la majorité des entreprises assujetties à l'exigence réglementaire d'évaluation des risques de tiers ( fournisseurs, clients, intermédiaires) n'est pas en conformité en matière de lutte contre la corruption, le blanchiment d'argent ou le financement du terrorisme. Parallèlement, avec l'arrivée de la Corporate Substainibility Reporting Directive (CSRD) sous l'impulsion européenne, le spectre de l'évaluation de l'intégrité des tiers s'élargit pour couvrir non seulement l'éthique, mais aussi l'environnemental, le social et le sociétal.
Par ailleurs, les entreprises jugent l’évaluation de leurs tiers très difficile à mettre en œuvre, comme le soulignait l’Agence Française Anti-corruption (AFA) dans son diagnostic national sur les dispositifs anti-corruption (septembre 2022)
C'est un fait, la majorité des entreprises assujetties à l'exigence réglementaire d'évaluation des risques de tiers ( fournisseurs, clients, intermédiaires) n'est pas en conformité en matière de lutte contre la corruption, le blanchiment d'argent ou le financement du terrorisme. Parallèlement, avec l'arrivée de la Corporate Substainibility Reporting Directive (CSRD) sous l'impulsion européenne, le spectre de l'évaluation de l'intégrité des tiers s'élargit pour couvrir non seulement l'éthique, mais aussi l'environnemental, le social et le sociétal.
Par ailleurs, les entreprises jugent l’évaluation de leurs tiers très difficile à mettre en œuvre, comme le soulignait l’Agence Française Anti-corruption (AFA) dans son diagnostic national sur les dispositifs anti-corruption (septembre 2022)
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