Le spécialiste de l’assurance dommage aux biens a mis en place une série d’outils et de méthodologies uniques pour accompagner les entreprises dans leur gestion des risques. L’entreprise dispose d’un pôle de recherche unique au monde composé de scientifiques et de 1 800 ingénieurs.
Leader mondial de l’assurance dommages aux biens, FM Global n’a pas changé sa ligne directrice depuis sa création en 1835. A savoir, permettre aux entreprises sociétaires d’atteindre leurs propres objectifs de gestion des risques. Pour cela, l’assureur mutualiste met tout en œuvre pour garantir à ses clients la continuité de leur activité et la protection de leurs biens. Avec une qualité de service, un niveau de garanties et une ingénierie de prévention identiques partout à travers le monde.
Le mot d’ordre de FM Global est en effet qu’il vaut mieux prévenir que reconstruire. Pour mener à bien cette stratégie qui a pour objectif de réduire les sinistres, l’assureur s’appuie sur deux piliers : la recherche et l’ingénierie. Ainsi, FM Global mène ses propres recherches scientifiques et déploie sur le terrain des ingénieurs qui visitent régulièrement les sites assurés. Grâce à cette approche particulière, les risk managers des entreprises assurées sont certains d’avoir accès aux meilleurs produits et services sur le marché de l’assurance dommages aux biens et ont toutes les cartes en main pour atteindre leurs propres objectifs de gestion des risques.
Pour cela, le groupe compte dans ses rangs des ingénieurs spécialistes de la maintenance des équipements et de la protection des biens. Ceux-ci ont pour mission de procéder à une évaluation approfondie des sites des sociétaires et de leur programme de gestion des risques. Ce diagnostic met en lumière les problèmes susceptibles d’avoir un impact sur l’activité de l’entreprise assurée. Les solutions de prévention sont ensuite adaptées au cas par cas. FM Global a constitué un pôle de recherche unique au monde.
A la fois pôle de recherche scientifique et centre d’essais dédiés uniquement à la prévention des risques industriels, il permet de mieux comprendre tous les phénomènes susceptibles d’endommager les sites des sociétaires. Ce pôle intéresse aussi les industriels – fabricants de matériaux, équipementiers – qui souhaitent obtenir l’agrément d’un organisme indépendant pour leurs produits, un gage de qualité dans le secteur.
La majorité des sinistres peut être évitée
FM Global se considère comme un assureur atypique sur le marché et n’hésite pas à revendiquer sa différence. Celle-ci part de quatre constats tirés de l’expérience centenaire de l’entreprise : d’abord, la majorité des sinistres peut être évitée grâce aux travaux de recherche et aux tests menés par les scientifiques du groupe et à l’expertise technique de ses 1 800 ingénieurs. Ensuite, il y a tout à gagner à s’appuyer sur une structure mutualiste. Ainsi, grâce aux efforts de ses clients pour réduire leurs expositions, FM Global a pu leur reverser 1,54 milliard d’euros sous forme de ristourne sur prime sur les dix dernières années. Troisième constat : l’avantage d’être un spécialiste. En dédiant exclusivement leur activité à l’assurance dommages, les équipes de FM Global s’engagent auprès de leurs clients pour leur livrer le meilleur du métier, partout dans le monde. Enfin, le choix d’un double circuit de distribution, puisque l’ensemble des prestations est disponible auprès des courtiers ou directement auprès des équipes de FM Global.
Une méthodologie qui a fait ses preuves
Si la prévention reste la démarche préalable à toute gestion des risques, les entreprises savent que le risque zéro n’existe pas. Pour FM Global, le but est de réduire au maximum l’impact des incidents. En cas de sinistre, le groupe apporte aux assurés les ressources financières dont ils ont besoin et mobilise son équipe de «Loss Adjusters» (régleurs de sinistres) pour permettre une reprise très rapide de l’activité et protéger la valeur créée par l’entreprise. La gestion des sinistres est traitée selon une approche mutualiste. L’objectif premier est d’indemniser les sinistres et d’accélérer la reprise des activités. Par exemple un premier acompte est versé très rapidement, sous quelques semaines, voire quelques jours, afin que l’assuré puisse relancer les travaux de reconstruction.
Dans ce cas, l’équipe de professionnels de la gestion des sinistres intervient immédiatement à travers le monde et l’entreprise a un point de contact unique, le régleur de sinistres local. La continuité de l’activité est ainsi assurée et le client bénéficie de prestations homogènes, performantes et équitables, quelle que soit sa situation géographique.Par ailleurs, pour les entreprises qui se développent à l’international, FM Global s’appuie sur un réseau baptisé WorldReach. Ce réseau a été développé en partant du constat qu’une présence à travers le monde présente des avantages certains, mais aussi des risques majeurs. Les multinationales assurées par FM Global sont toutes confrontées à un véritable casse-tête.
Car elles doivent à la fois : s’assurer de la conformité réglementaire de leur activité d’un pays à un autre ; résoudre les problèmes de communication entre leurs entités ; garantir une cohérence au niveau de la police d’assurance à l’échelle du groupe ; garder le contrôle sur la mise en œuvre, la mise à jour et l’efficacité de leur plan de gestion des risques. Avec WorldReach, FM Global coordonne à l’échelle mondiale l’ensemble des services dont ses clients ont besoin : souscription, prévention des risques, gestion des sinistres. Des prestations qui sont assurées avec la même qualité de service quel que soit le point du globe.
Pour en savoir plus sur la résilience en temps de crise, venez assister à l’atelier C11 «Les effets de la crise sur le Risk Management» avec la participation de Thierry Masurel, directeur général de FM Global pour l’Europe du Sud, le 6 février de 15:00 à 17:00, lors de l’édition 2014 de l’AMRAE. Ou rendez-vous sur Touchpoints (www.touchpoints.fr), le site de contenus de FM Global sur le risk management.
Question à...Loïc Le Dréau, directeur de souscription et clientèle opération Europe du Sud de FM Global, basé à Paris
Loïc Le Dréau dirige les services souscription et clientèle de fm global pour l’Europe du sud, repartis sur trois bureaux (Paris, Milan et Bruxelles). Il commence sa carrière en 1986 comme responsable de production chez Digipress, fabricant de cd et dvd. Dix ans plus tard, il rejoint fm global ou il occupe successivement les fonctions d’ingénieur-conseil et d’ingénieur de clientèle. En 2004, il prend la direction de l’ingénierie technique pour la région nord-ouest de la France. Deux ans après, il est nommé directeur de l’ingénierie de compte, puis de l’ingénierie pour l’Europe du sud, poste qu’il occupe pendant trois ans.
FM Global se considère comme une compagnie atypique. Pourquoi ?
D’abord par notre finalité : rendre les entreprises plus résilientes, leur donner la capacité de s’adapter et de répondre rapidement à l’interruption de l’activité et de maintenir la continuité des opérations… Ensuite, par notre approche. Nous considérons, en effet, que la majorité des risques peut être évitée et c’est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour y parvenir avec notre pôle d’ingénieurs, qui représentent près de 50 % de nos effectifs. Ils effectuent plus de 60 000 visites de risques par an à travers le monde. Cela nous permet de bien quantifier le risque, de donner de bonnes informations aux souscripteurs et des capacités d’assurance très fortes sur notre segment de l’assurance dommage aux biens, l’une des plus élevées du marché en termes de couverture. Enfin, grâce à nos régleurs de sinistres locaux, qui ont un pouvoir de décision, nous pouvons indemniser très vite les clients.
Quelles sont vos relations avec les risk managers ?
Ce sont nos interlocuteurs privilégiés au quotidien et nous les accompagnons dans leur projet de risk management. Cela tient en trois grandes étapes : d’abord les aider à quantifier les risques, à les hiérarchiser. C’est une phase qui se fait en collaboration avec les directeurs de site, les directeurs qualité… en coordination avec le risk manager. Ensuite il y a le support engineering. C’est-à-dire, nous les aidons dans la mise en place de la prévention partout où il y a un site industriel dans le monde. Enfin, quand c’est nécessaire, nous procédons au règlement du sinistre avec pour objectif d’aider le client à redémarrer très vite et lui éviter une rupture d’activité.
Constatez-vous un changement dans les types de risques que rencontrent vos clients ?
Pas vraiment, ce qui a changé, c’est leur intensité. Nous rencontrons trois grands types de risques : la supply chain qui est de plus en plus tendue, avec moins de redondances. Ce qui a très vite un impact sur l’activité et le chiffre d’affaires, surtout pour les ETI. Les catastrophes naturelles : le développement de l’activité industrielle dans les pays émergents se fait parfois sur des zones sensibles aux catastrophes naturelles. Enfin, le risque incendie classique reste très important, avec une part de perte d’exploitation liée au sinistre qui augmente.