A l’instar de sa maison mère BPCE et de Natixis, autre filiale du groupe, la Banque Palatine vient de nouer des partenariats non capitalistiques avec des fintechs. D’une part, elle expérimente actuellement un jeu de finance comportementale avec la société Neuroprofiler. Celui-ci doit aider les conseillers financiers de la banque à mieux évaluer le profil de leurs clients en matière d’investissement, comme l’exige la directive européenne sur les marchés d’instruments financiers (Mifid2). D’autre part, l’établissement va proposer à ses clients, en collaboration avec Paytop, une carte de paiement multi-devises, permettant de régler des achats libellés en euros, dollars et livres sterling sans frais. Réservé à ce stade aux particuliers, ce support de paiement sera lancé au printemps. Afin d’accompagner les ETI dans leur processus de digitalisation, la Banque Palatine envisage également de nouer des liens avec d’autres fintechs ou start-up.
A l’instar de sa maison mère BPCE et de Natixis, autre filiale du groupe, la Banque Palatine vient de nouer des partenariats non capitalistiques avec des fintechs. D’une part, elle expérimente actuellement un jeu de finance comportementale avec la société Neuroprofiler. Celui-ci doit aider les conseillers financiers de la banque à mieux évaluer le profil de leurs clients en matière d’investissement, comme l’exige la directive européenne sur les marchés d’instruments financiers (Mifid2). D’autre part, l’établissement va proposer à ses clients, en collaboration avec Paytop, une carte de paiement multi-devises, permettant de régler des achats libellés en euros, dollars et livres sterling sans frais. Réservé à ce stade aux particuliers, ce support de paiement sera lancé au printemps. Afin d’accompagner les ETI dans leur processus de digitalisation, la Banque Palatine envisage également de nouer des liens avec d’autres fintechs ou start-up.