Selon une étude de KPMG sur la transparence menée auprès de 17 banques françaises et internationales, 15 d’entre elles ont mis en place un comité dédié aux enjeux de durabilité, dont la moitié depuis l’an dernier. Néanmoins, pour la majorité des établissements, les risques de durabilités traités restent limités aux sujets climatiques et sociaux. Les autres risques environnementaux et de gouvernance sont abordés par moins de la moitié des banques.
Par ailleurs, le cabinet d’audit et de conseil déplore l’hétérogénéité des informations publiées, notamment dans le cadre du « green asset ratio », qui doit représenter la part d’actifs bancaires investis dans des activités durables. Enfin, selon KPMG, il est impossible de comparer les notes ESG attribuées par les agences sur ces banques, en raison de méthodologies différentes.