Selon une étude de Deloitte, l’introduction du «say on pay» – c’est-à-dire l’obligation de soumettre au vote des actionnaires une résolution relative à la rémunération des dirigeants et mandataires sociaux – n’a pas bouleversé les pratiques des entreprises. En effet, ces dernières communiquaient déjà sur les revenus de leurs responsables. En outre, comme le vote n’est que consultatif, elles n’entendent pas modifier leur politique de rémunération. En revanche, la mise en place du «say on pay» les a conduites à mieux expliquer les critères de performance retenus dans le calcul de la part variable.
REMUNERATION
Le bilan contrasté du «say on pay»
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