Après un premier trimestre dynamique sur le marché obligataire, marqué en France par près de 150 émissions pour un montant total d’environ 80 milliards de dollars d’après Thomson Reuters, l’activité a sensiblement ralenti. Certes, une soixantaine d’émetteurs ont continué de solliciter les investisseurs au deuxième trimestre, comme par exemple Capgemini, Suez Environnement ou Atos. Toutefois, sous le double effet de la brusque remontée des taux initiée à partir du mois d’avril et des tensions liées à la crise grecque, les sommes émises par les sociétés françaises ont été divisées par plus de deux sur un an. En conséquence, 120 milliards de dollars «seulement» ont été collectés sur les six premiers mois de l’année par les groupes hexagonaux, soit 44 % de moins qu’il y a un an. Selon Thomson Reuters, il s’agit du premier semestre le moins actif en France depuis 2004 !
Marché obligataire
Le premier semestre le moins dynamique depuis 2004 en France
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