Comme le rappelle la Banque de France dans sa dernière étude intitulée «Stabilité financière et système financier», dédiée au risque climatique, l’augmentation des températures dans le monde pourrait «déstabiliser les tissus économiques locaux et conduire à l’érosion de la valeur des actifs». Dans ce contexte, l’institution s’est interrogée sur l’exposition des banques et compagnies d’assurance hexagonales à ce risque dit de transition. Ses conclusions sont plutôt rassurantes : la part des secteurs les plus carbonés représentait, en 2017, 12,2 % des encours nets des établissements bancaires exposés au risque de crédit, en légère diminution par rapport à 2015 (12,7 %). Ce pourcentage s’élevait à cette date à environ 10 % chez les assureurs. Quant à la part des actifs des institutions financières situés dans des zones géographiques moyennement ou fortement vulnérables au changement climatique, elle était inférieure à 2,5 %.
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