A la recherche de rendements dans un environnement de taux bas, voire négatifs, les investisseurs obligataires prennent davantage de risques. Selon S&P Global Ratings, la part des entreprises qu’elle note B-, c’est-à-dire dans le bas de la catégorie high yield, vient d’atteindre un plafond historique aux Etats-Unis (20,5 % des émetteurs high yield) et son plus haut niveau en Europe depuis 2000 (autour de 12,5 %). Une situation qui n’est pas sans danger pour les créanciers, avertit l’agence, cette catégorie d’emprunteurs étant la plus fortement exposée aux dégradations de notations et, surtout, aux défauts de paiement en cas de retournement conjoncturel.
High yield
Les émetteurs à risque en nombre sur le marché obligataire
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