Le mouvement n’est certes pas nouveau, mais il se poursuit. Selon Moody’s, la part des émetteurs corporate les moins bien notés (B2 et B3, équivalent de B et B-) est aujourd’hui montée à 50 % du total de notations délivrées par l’agence en Europe, contre 25 % il y a dix ans et 35 % fin 2016. Dans ce contexte, Moody’s s’attend à ce que le prochain retournement de cycle économique dans la zone euro provoque une vague de dégradation de ratings et de défauts.
L'info financière en continu
Chargement en cours...
Les dernières Lettres Professionnelles
PWC SOCIÉTÉ D'AVOCATS
Gestion des groupes internationaux - Février 2025
CMS Francis Lefebvre
Acquérir, céder ou conserver une entreprise familiale
PWC SOCIÉTÉ D'AVOCATS
Une année 2024 toujours riche en matière de fiscalité internationale
Dans la même rubrique
L’inflation américaine culminerait à 4,3 % cet été, selon Allianz Trade
Avec des taux de droits de douane américains atteignant leur plus haut niveau depuis les années...