Les fintechs peinent encore à tirer les bénéfices de l’open banking, le partage par les banques de leurs données clients, ce malgré la mise en place de cadres réglementaires idoines, comme la deuxième directive européenne sur les services de paiement (DSP2), signalent Capgemini et l’European Financial Management Association (EFMA) dans une étude conjointe portant sur 116 sociétés de services financiers traditionnelles et 40 fintechs. Plus de la moitié des start-up sondées déclarent se heurter à des obstacles de confidentialité, quand plus du tiers expriment des craintes quant à la perte de contrôle des données clients. 70 % des fintechs mettent également en avant la complexité et la lenteur des processus décisionnels bancaires. En définitive, il ressort du rapport que 43 % seulement des dirigeants de fintechs interrogés affirment avoir trouvé un «bon partenaire» pour l’implémentation de l’open banking.
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