Alors que la loi de finances pour 2020 vient d’assouplir le cadre réglementaire des bons de souscription de parts de créateur d’entreprise (BSPCE), dispositif d’intéressement prisé des start-up, l’exécutif a fait part de son souhait, lors du sommet Choose France, de mettre en place des mesures supplémentaires pour permettre aux jeunes pousses françaises de fidéliser leurs salariés. Le gouvernement souhaite étendre ainsi aux PME et ETI l’exonération de cotisations patronales appliquée aux attributions gratuites d’actions (AGA) réservée aujourd’hui aux start-up n’ayant jamais versé de dividendes. «Cette extension permettrait aux start-up plus développées de pouvoir attirer plus de talents alors même que les difficultés de recrutement se rencontrent à tous les échelons de la French Tech», reconnaît Marianne Tordeux, directrice des affaires publiques de France Digitale. Cette mesure pourrait figurer dans le projet de loi de finances pour 2021. Les déclarations de l’exécutif surviennent alors que le ministère de l’Economie et des Finances a lancé, le 20 janvier, une campagne de promotion de l’intéressement visant à sensibiliser les chefs d’entreprise à ces dispositifs.
L'info financière en continu
Chargement en cours...
Les dernières Lettres Professionnelles
PWC SOCIÉTÉ D'AVOCATS
Gestion des groupes internationaux - Février 2025
CMS Francis Lefebvre
Acquérir, céder ou conserver une entreprise familiale
PWC SOCIÉTÉ D'AVOCATS