Le SBF 120 a recruté peu de dirigeants à l’extérieur en 2017, selon la nouvelle étude sur les rémunérations des dirigeants mandataires du SBF 120 réalisée par Kienbaum France. En effet, plus de trois quarts des nouveaux dirigeants occupaient déjà une fonction dans le groupe qu’ils dirigent, préalablement à leur mandat. Par ailleurs, le secteur et la taille de l’entreprise ont un impact significatif dans la rémunération du dirigeant. «A taille égale, entre les secteurs les moins rémunérateurs (énergie, environnement, immobilier) et les plus rémunérateurs (industrie pharmaceutique, chimie et luxe), le rapport est de 1 à 3», souligne Sofia Sefrioui, directrice de la rémunération et de la performance chez Kienbaum. Toutefois, avec l’entrée en vigueur du «say on pay» (vote des actionnaires sur la rémunération de leurs dirigeants), moins de dirigeants ont été augmentés en 2017. Ils étaient en effet 10 % en 2017, contre 30 % en 2016.
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