1 200 milliards d’euros : tel est le montant de prêts non performants détenus par les banques européennes, d’après KPMG. En raison des intérêts non payés par les débiteurs, des provisions comptables à passer et des pertes subies, ces actifs douteux participent à la baisse de la rentabilité des établissements, tombée à 5 % en moyenne pour les grands groupes. Une situation d’autant plus préoccupante que, selon le cabinet, la résorption de ce stock de crédits devrait prendre «des décennies» compte tenu de l’environnement de faible croissance.
L'info financière en continu
Chargement en cours...
Les dernières Lettres Professionnelles
CMS Francis Lefebvre
Acquérir, céder ou conserver une entreprise familiale
PWC SOCIÉTÉ D'AVOCATS
Une année 2024 toujours riche en matière de fiscalité internationale
CMS Francis Lefebvre