Les entreprises françaises continuent d’innover sur le front des financements ESG. La semaine dernière, Schneider Electric a émis les premières obligations convertibles (Oceane) durables reposant sur une structure sustainability-linked. D’un montant de 650 millions d’euros, ces titres arrivant à échéance en 2026 affichent un coupon de 0 %. Mais en cas de non-atteinte d’objectifs ESG prédéterminés, la société devra payer au titre de chaque obligation une «prime de performance durable» équivalente à 0,50 % de la valeur nominale unitaire. De son côté, LafargeHolcim a levé 850 millions d’euros sur onze ans dans le cadre d’une émission de sustainability-linked bonds. De 0,5 %, le coupon pourra là aussi être majoré en fonction des performances du groupe en termes de rejet de CO2.
FINANCEMENT
Schneider Electric et LafargeHolcim optent pour une structure «sustainability-linked»
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