A l’heure où les investisseurs cherchent à réduire l’empreinte carbone de leurs placements, S&P Dow Jones vient de publier sa dernière étude portant sur l’analyse de l’exposition carbone de ses principaux indices à travers cinq critères (empreinte carbone, émissions futures en fonction des réserves d’énergies fossiles, exposition au revenu du charbon, transition énergétique, part des revenus issus des énergies propres par rapport à celle des énergies fossiles).
Dans ce contexte, le S&P Growth constitue le benchmark qui répertorie les sociétés cotées les moins consommatrices de CO2. Il est suivi par le S&P 500. En revanche, le S&P/IFCI Emerging Markets rassemble les valeurs les plus consommatrices en intensité carbone. Paradoxalement, alors que l’Europe est plus en pointe que les Etats-Unis en matière de prise en compte de la transition énergétique, le S&P 350 Europe fait également parti des indices en bas de palmarès en matière d’intensité carbone.