Le BFR est, par essence, un candidat évident pour la digitalisation compte tenu du faitque les volumes de données sous-jacentes au BFR (données clients, factures, références articles, mouvements d’approvisionnement ou de livraison, etc.) sont souvent gigantesques.
Le digital s’immisce dans toutes les composantes de l’entreprise. Pourquoi la gestion du BFR constitue-t-elle un excellent vecteur de digitalisation ?
Le BFR est, par essence, un candidat évident pour la digitalisation compte tenu du fait que les volumes de données sous-jacentes au BFR (données clients, factures, références articles, mouvements d’approvisionnement ou de livraison, etc.) sont souvent gigantesques. Si une première phase a déjà largement impacté la gestion des processus BFR au travers de processus d’automatisation robotisés (RPA avec la dématérialisation des factures, traitement automatique des règlements, gestion électronique des documents, automatisation de la gestion des commandes, etc.), l’avènement de l’ère de la data strategy constitue un tournant majeur.
En offrant la possibilité de collecter, de croiser, d’analyser presque en temps réel ces multiples données, les plateformes digitales deviennent de véritables outils d’aide à la décision voire à la prédiction. Les données du service commercial d’une entreprise peuvent par exemple apporter une forte valeur ajoutée dans la gestion du BFR en permettant d’analyser et d’anticiper le comportement de paiement d’un client, par exemple en fonction de la typologie de ses achats.
De nombreux progrès ont déjà été réalisés, d’autant que ces outils digitaux, souvent accessibles comme un service (software as a service), sont faciles à paramétrer. La gestion du poste clients s’est par exemple énormément simplifiée et automatisée. Sur les stocks, les outils de planification de la production et des commandes génèrent déjà d’importants gains d’efficacité.
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