Alors que de plus en plus de directions financières sont convaincues par les vertus du SaaS, Basware revient sur leur perception de ce modèle d’exploitation, ses avantages et les moyens mis en œuvre pour lever les derniers freins.
Comment évolue le SaaS en France ?
Syntec prévoit pour 2017 une croissance de 18 % du SaaS, alors que celle du modèle traditionnel on-premise ne dépasserait pas les 1 % ! Cet intérêt pour le SaaS est particulièrement marqué chez les professionnels de la finance. Aujourd’hui, 70 % des besoins exprimés par les directions financières sont en faveur d’un mode SaaS, contre 30 % en 2012. Malgré tout, ce modèle continue de susciter des interrogations tant il impacte le fonctionnement même d’une entreprise, ses choix d’investissement, son organisation avec des prises de décision déportées vers les métiers, une redéfinition des rôles des directions et une évolution des compétences.
Pourquoi les DAF sont-ils de plus en plus intéressés par ce mode d’accès ?
De par sa flexibilité, sa transparence et sa capacité à standardiser les processus, le SaaS permet de faire évoluer les entreprises de manière plus agile et leur confère plus de souplesse en matière de gestion financière. Une solution en mode SaaS aide à gérer en toute simplicité une augmentation du volume des données ou l’intégration d’une nouvelle filiale. Les mises à jour fonctionnelles sont directement gérées par le fournisseur de la solution. En choisissant le SaaS, la DAF permet alors à son entreprise de se concentrer sur son cœur de métier, sur sa croissance et de réduire ses coûts d’infrastructure, de maintenance et de stockage informatiques. En facilitant l’accès à distance, le SaaS sert aussi les besoins de mobilité des équipes financières. Enfin, les DAF souhaitent s’appuyer sur des solutions toujours plus performantes. Tout...