Pâtissant d’une augmentation de leurs encours de prêts non performants pour certaines et d’une rentabilité en berne pour la plupart d’entre elles, les banques de la zone euro restent contraintes de poursuivre l’allégement de leurs bilans pour tenter d’améliorer leurs performances. Selon la recherche économique de Natixis, la taille de ces derniers est en effet tombée en ce début d’année à 230 % du PIB environ, contre près de 260 % en 2015 et de 280 % lors du pic historique atteint courant 2012.