En dépit de leur poids économique, les entreprises de taille intermédiaire ou ETI (250 à 4 999 salariés, selon la classification française) ne sont toujours pas identifiées dans une catégorie spécifique par l’Union européenne (UE). En conséquence, elles ne bénéficient pas de politiques publiques d’investissement adaptées à leurs caractéristiques, contrairement aux PME. Le baromètre des dynamiques internationales des ETI, dévoilé le 18 avril dernier par le Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (METI), montre ainsi que les ETI françaises mobilisent peu les solutions publiques d’accompagnement à l’international, alors que 86 % des ETI ont une activité d’exportation et 9 ETI sur 10 ont une implantation à l’étranger. Ces entreprises viennent toutefois de recevoir le soutien du Sénat. A l’occasion d’une rencontre avec une délégation de dirigeants d’entreprises européennes le 10 avril dernier, ce dernier s’est dit par la voix d’Olivier Rietmann, président de la délégation aux entreprises, « déterminé à soutenir la reconnaissance des ETI à l’échelle européenne sur l’exemple de la France ».
FINANCEMENT
Le Sénat veut soutenir l’identification des ETI à l’échelle européenne
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