Transition énergétique

L’économie à réinventer

Publié le 27 mai 2022 à 12h24

Anne del Pozo    Temps de lecture 17 minutes

Face à l’urgence climatique, la transition énergétique est lancée depuis maintenant plusieurs années. Une urgence que le conflit en Ukraine est venu renforcer en provoquant une crise énergétique majeure. Il a mis en exergue la dépendance de l’Europe aux énergies fossiles et notamment aux hydrocarbures russes. A l’urgence climatique s’ajoute donc désormais une urgence géopolitique. L’indépendance énergétique n’est cependant pas un sujet nouveau. Si jusqu’à peu l’approvisionnement était fluide, la pandémie puis le conflit en Ukraine l’ont fortement déstabilisé. Pour relever le défi de l’indépendance énergétique, deux leviers peuvent être activés : celui de la sobriété ou de l’ajustement des besoins aux usages pour couvrir uniquement ce qui est légitime et celui du développement des énergies renouvelables. Parallèlement, il faut changer notre appareil de production et transformer notre économie. Des démarches qui nécessiteront de sécuriser les trajectoires financières.

D’ici 2050 en France, les émissions de gaz à effet de serre devront être réduites par six et la consommation d’énergie par deux en France. A cet effet, il faut décarboner les bâtiments, la production d’énergie et les transports sans compensation. « Cela nécessitera 4 000 milliards d’euros d’investissements par an pour y parvenir rappelle Pierre Abadie, groupe climate director Tikehau et en charge d’un fonds d’investissement lié à la transition énergétique. Nous sommes aujourd’hui à un peu plus de 1 000 milliards d’euros pour la chaîne de valeur entière. Il faut donc la multiplier par 4. Le pool le plus grand concerne la rénovation des bâtiments (700 milliards d’euros par an jusqu’en 2050). »

L’Etat dessine la feuille de route de la transition énergétique

Pour atteindre ces objectifs, la mobilisation devra être unanime et portée notamment par l’Etat. « Au travers de la loi Climat et Résilience, l’Etat a prévu de faire élaborer dans l’année 2022 les feuilles de route sectorielle, explique Thomas Lesueur, délégué interministériel et commissaire général au développement durable, ministère de la Transition écologique. Nous avons découpé en chaîne de valeurs les principaux secteurs économiques qui sont contributifs des gaz à effet de serre, sous l’axe climat d’abord. Puis dans chacune de ces chaînes de valeur nous allons proposer aux grands acteurs de se réunir pour identifier les trajectoires de décarbonation à horizon 2030/2035 afin d’orienter les choix d’investissements d’aujourd’hui. Dans ce travail, l’Etat organise le débat pour permettre à chacun de se projeter sur toute une chaîne de valeur et de partager la feuille de route. Pour le passage à l’acte, il faut également sécuriser les trajectoires financières. De ce point de vue, l’achat public offre des perspectives. Dans le cadre de la loi Climat et Résilience, l’Etat a ainsi prévu d’ici cinq ans que 100 % de la commande publique comporte des considérations environnementales et 30 % des considérations sociales. » 

Le gouvernement se mobilise ainsi pour accompagner les acheteurs publics mais également les entreprises du privé afin qu’elles développent un catalogue d’offres incluant cette dimension durable. Une démarche qui leur permet de s’inscrire dans une trajectoire ESG tout en étant éligibles à des acheteurs publics.

La mobilité face au défi de la décarbonation

La décarbonation de la mobilité est également un sujet majeur de la transition énergétique. La mobilité représente en effet 30 % des émissions de CO2 en France et dans le monde chaque année. Sa décarbonation représente donc un sujet majeur de la transition énergétique. Elle passera notamment par l’investissement de toutes les parties prenantes, y compris les collectivités. « En Normandie, nous avons souhaité agir rapidement sur la mobilité directe via le développement de l’offre de transport en commun, le meilleur moyen de se déplacer collectivement et de réduire l’emprunte carbone précise Sophie Gaugain, première vice-présidente de la Région Normandie. Nous avons également de nouvelles offres connectées aux territoires et communautés de communes qui s’occupent du dernier kilomètre. Sur le moyen terme, notre stratégie s’articule davantage autour de l’hydrogène. En Normandie, il faut être fort à la fois sur le terrestre, le petit maritime et le fluvial. Nous pouvons faire de l’axe Seine un exemple de déploiement de l’hydrogène. A chaque échelon, nous cherchons des partenariats et des solutions apportant des réponses concrètes. »

L’hydrogène, un facteur-clé de la décarbonation de la mobilité

La décarbonation de la mobilité passera également par l’hydrogène. Aujourd’hui, les solutions technologiques existent pour remplacer les véhicules thermiques par des modes de transports bas carbone dont les véhicules électriques, hydrogènes, biocarburant et développer de nouvelles infrastructures de recharge. « Le moteur à combustion vit ses dernières décennies, précise Pierre Abadie groupe Climate director Tikehau et en charge d’un fonds d’investissement lié à la transition énergétique. Les investissements dans le moteur à combustion vont s’arrêter au profit d’autres énergies dont l’électrique et l’hydrogène. » 

D’ailleurs, les politiques s’engagent également sur le sujet, en particulier sur l’hydrogène. Pour preuve, Emmanuel Macron a annoncé vouloir faire de la France le leader de l’hydrogène vert. Encouragée par un agenda politique favorable, cette transition représente donc une opportunité d’investissement certaine tant les besoins en financement sont élevés. « Dans les transports, l’hydrogène peut ainsi répondre aux enjeux de mobilité lourde et de mobilité intensive (chariots élévateurs, taxis, etc.), explique Hervé Guez, CEO Equity & FI de Mirova. En région parisienne nous avons ainsi accompagné Hype pour remplacer 600 taxis diesels par des taxis hydrogènes. Nous investissons sur l’ensemble de la chaîne pour répondre à tous les besoins du conducteur de taxi, notamment en termes d’autonomie et de rapidité de la recharge. » 

Il n’y aura pas forcément une technologie qui répondra à toutes les mobilités. « Il faut débloquer l’intégralité de la chaîne de valeur concernée par l’hydrogène, qui représente près de 300 000 milliards d’euros d’investissements par an à horizon 2050 », précise Pierre Abadie de Tikehau.

Quelques freins à l’hydrogène persistent

L’hydrogène pose néanmoins différentes problématiques, dont celle du coût et l’approvisionnement sur les ressources minérales. « Il est d’ailleurs possible que le développement de l’hydrogène pour la mobilité s’oriente là où cette énergie est la plus performante », ajoute Hervé Guez. Pour autant, aujourd’hui, l’hydrogène n’est pas encore complètement abandonné sur les véhicules légers car, sur les utilisations intensives, le recours à cette énergie peut faire du sens. D’autant que sur le véhicule électrique, il reste à décarboner l’électricité et régler le problème des infrastructures de recharges, dont le coût et le temps de recharge restent des sujets pour l’utilisateur. Le problème du recyclage, notamment des batteries, n’est également pas encore solutionné. Les investisseurs doivent donc, sur le sujet, être « agiles » et tester différentes solutions.

Le verdissement des infrastructures s’impose

Le besoin en nouvelles infrastructures et la transition vers une économie soutenable d’un point de vue environnemental nécessitent par ailleurs une évolution rapide et massive des équipements existants et la construction de nouveaux équipements. Les montants en cause sont considérables car, dès 2016, la Banque européenne d’investissement chiffrait à 700 milliards d’euros le besoin annuel d’investissements en infrastructures au sein de l’Union européenne. « Nous investissons à cet effet dans la dette infrastructure au sens large, donc de la dette senior ou junior, en Europe et sur la partie non cotée, précise Karen Azoulay, head of infrastructure debt, BNP Paribas Asset Management. Nous finançons ainsi la transition énergétique qui inclut les énergies renouvelables et la décarbonation du secteur des utilities. Nous investissons par ailleurs dans le digital via des financements d’infrastructures télécom (réseau de fibres optiques, data center, etc.). Nous finançons également des projets dans le transport liés à la mobilité verte qui inclut par exemple des plateformes de chargement de véhicules électriques. Dans le verdissement des infrastructures, il peut y avoir du digital au service de l’environnement. On parle alors d’optimisation d’infrastructures existantes par le digital (villes intelligentes, réseau électrique intelligent). Enfin, nous investissons dans le social via le financement de certains actifs dans le domaine des hôpitaux. » 

« Pour notre part nous investissons toujours dans le privé, dans des actifs réels, mais aussi sur des sociétés qui ont des portefeuilles d’actifs réels. Nous investissons en fonds propres, en dettes : dettes mezzanines, subordonnées, classiques avec des rendements entre 2 à 7 % », précise de son côté Alban de la Selle, chief investment officer and managing partner, Generali Global Infrastructure.

Quels sont les critères pour l’investissement  dans ces infrastructures ?

Le choix des investissements s’appuie alors sur différents filtres. BNP Paribas Asset Management a ainsi un filtre d’exclusion sectoriel et un scoring ESG complété par une analyse d’impact. « Notre objectif consiste à flécher nos investissements vers des actifs vertueux en termes d’ESG, indique Karen Azoulay. Nous nous attachons également à garder les caractéristiques de notre classe d’actifs. Nous finançons des actifs réels, qui fournissent des biens et des services essentiels à la collectivité (électricité, internet haut débit, eau, etc.). Nous nous assurons de la prévisibilité des cash-flows à long terme. L’objectif pour nos investisseurs consiste à bénéficier, en investissant dans cette classe d’actifs, d’une certaine diversification, d’une faible volatilité. » Generali Global Infrastructure investit pour sa part surtout en Europe de l’Ouest. « Nos critères d’investissements sont par ailleurs organisés autour de trois principes : l’exclusion, la contribution aux SDG (sustainable development goal) et l’alignement à l’accord de Paris de deux degrés », conclut Alban de la Selle.

Le changement climatique favorise l’émergence de nouveaux business models

Au-delà de ces transformations, le changement climatique conjugué à la crise géopolitique actuelle favorise également l’émergence de nouveaux business models. Ce nouveau contexte provoque en effet un réveil européen pour sortir de notre dépendance énergétique tout en apportant une réponse à cet enjeu de changement climatique. « En Europe, nous sommes capables d’apporter des solutions qui passent notamment par la deep tech qui offre des solutions et applications pour traiter ce défi du changement climatique, explique Charles Beigbeder, président fondateur d’Audacia. Nous sommes numéro 1 mondial dans plusieurs domaines de recherche fondamentale. Nous avons par exemple lancé un fonds dédié aux technologies quantiques, un autre aux technologies spatiales, une autre encore aux technologies de l’énergie. Les investissements se font maintenant. Les start-up existent déjà et ont besoin d’investissement aujourd’hui et nous entendons investir dans ces entreprises. » En ce sens, le monde de la finance joue un rôle fondamental et doit se mobiliser pour flécher les investissements vers le vert. 

L’électrification des usages

Parallèlement, la transition énergétique va exiger de produire de plus en plus d’électricité car on tend vers une électrification des usages. « Le solaire va jouer un rôle fondamental dans cette évolution avec des enjeux de biodiversité, de réseaux (intelligents) et de fonciers (pour produire massivement de l’électricité verte), précise ainsi David Guinard, co-fondateur et directeur général de Photosol. L’agrivoltaïque commence à donner lieu à une réflexion gouvernementale qui commence à se structurer. Il s’agit d’une manière de produire de l’électricité à un prix compétitif sans nuire à la production agricole à un niveau de productivité qui peut même augmenter. »

La transition énergétique soulève des questions sociales et sociétales

Certes contraignante, la transition énergétique est également une véritable opportunité pour diminuer les inégalités sociales. D’ailleurs, pour que la transition soit perçue comme légitime et acceptée par tous elle doit être « juste ». « La meilleure transition est celle qui concerne d’abord l’autre, souligne à ce sujet Joël Bruneau, maire de Caen. Il faut faire comprendre à tous qu’il s’agit d’un intérêt supérieur à la considération de chacun. » 

Pour qu’elle soit acceptable, la transition ne doit pas juste être corrélée à la menace climatique. « La transition juste est d’ailleurs, au départ, une notion syndicale, venue plutôt d’une manière défensive, ajoute pour sa part Philippe Portier, secrétaire national de la CFDT. Nous en trouvons les origines dans les années 1990 aux Etats-Unis. L’objectif était de dire qu’au-delà du climat et de l’environnement, la transition énergétique devait être envisagée sous l’angle social et permettre de réduire les inégalités sur la planète. » La transition énergétique va en effet changer de nombreux business models d’entreprise, impactant les salariés, leur employabilité mais aussi les territoires. « Par exemple, l’électrification des véhicules dans l’automobile a un impact très fort en termes de compétences et d’organisation du travail, explique Caroline Le Meaux, responsable analyse ESG, engagements et votes chez Amundi. Une telle transition peut également conduire à la perte ou à la création d’emplois sur les territoires, ce qui, dans un cas comme dans l’autre, peut avoir un impact social et sociétal. » 

L’entreprise est d’ailleurs au cœur des transformations. Elle doit faire évoluer ses méthodes de production pour tendre davantage vers le qualitatif, le recyclable et le durable. Cela va impacter les métiers et donc les compétences. « Le dialogue social va alors permettre de trouver des solutions pour que les salariés se reconvertissent et/ou adaptent leurs compétences », poursuit Philippe Portier.

Les investisseurs veillent à la qualité du dialogue social

Les investisseurs sont d’ailleurs particulièrement vigilants sur la qualité du dialogue avec les syndicats. « En qualité d’investisseur, nous regardons surtout la capacité des entreprises à accompagner cette transition, ajoute Caroline Le Meaux. Par exemple comme les business models vont évoluer, il faut que toutes les parties prenantes soient impliquées et, en la matière, avoir un bon dialogue syndical est important. Nous veillons également à la formation et l’employabilité des salariés et regardons comment l’entreprise gère localement son bassin d’emploi. » 

La transformation nécessite également de la volonté, de l’effort et de l’investissement collectif. Ce projet de transformation doit se mener par étapes, se construire dans le temps. Un changement que les investisseurs vont devoir accompagner. « Les investisseurs doivent réintroduire cette dimension temporelle, ajoute pour sa part Hubert Rodarie, président de l’Af2i. La décarbonisation prendra du temps. Nous ne pouvons pas changer nos dispositifs de manière instantanée. Les investisseurs pourront d’autant plus accompagner la transition énergétique s’ils ont la conviction que leurs investissements sont porteurs d’effets véritables. »

Les investisseurs, parties prenantes de la transition énergétique

Pour respecter les engagements des accords de Paris, il va donc falloir faire évoluer les chaînes de production, notamment sur le volet énergétique, ce qui nécessitera environ 1 500 à 2 000 milliards de dollars par an et donc des investissements. Il s’agit davantage d’un bouleversement, voire de révolution plutôt que d’une transition énergétique.

« La production d’énergie, le transport et la mobilité, la construction et le bâtiment, ainsi que l’agriculture concentrent plus de 75 % des émissions de CO2, précise Adrien Dumas, CIO, directeur de la gestion, Mandarine Gestion. Par nature, ce sont des secteurs avec de forts enjeux et des capacités d’innovations importantes. » D’autres dimensions sont également à prendre en considération dans ce mouvement de transition comme la biodiversité, l’eau, la circularité. « Ces dernières années nous avons également beaucoup de développement autour de l’économie circulaire », précise ainsi Ferdinand Dalhuisen, managing director, environnemental opportunities, primaries & co investments, ODDO BHF Private Equity. D’autre part, les entreprises ont également aujourd’hui une responsabilité sur toute la chaîne de valeur.

In fine, la majorité des secteurs industriels sont concernés par cette transition énergétique, offrant ainsi aux investisseurs de nombreuses opportunités. « Chez Mandarine Gestion, nous avons décidé d’aborder ce sujet avec un fonds international sans aucune contrainte de capitalisations », ajoute Adrien Dumas de Mandarine Gestion.

Encadrer la démarche des investisseurs

Pour accompagner la démarche des investisseurs, l’Union européenne et la France commencent à la réglementer. « La taxonomie a ainsi plusieurs objectifs vertueux dont le premier consiste à solliciter le monde de la finance et de l’épargne pour financer la transition écologique et énergétique, explique Adrien Dumas. Elle permet également de standardiser une nomenclature des secteurs et des industries qui peuvent être considérées comme verts. La réglementation dans les 18 mois à venir va imposer à tous les émetteurs d’essayer de quantifier leurs expositions en parts vertes, grises, brunes. Cela va devenir un élément de reporting obligatoire et qui permettra de voir la différence entre l’intention d’investir dans ces fonds et la réalité. »

Des obstacles restent à lever

Malgré les opportunités et la réglementation à venir, les investisseurs sont toujours timides pour aller vers de nouveaux investissements, « d’autant que des obstacles à la transition énergétique demeurent », constate Ferdinand Dalhuisen. Pour le moment, les hésitations sur la taxonomie perturbent les épargnants. Par ailleurs, les lobbyings industriels restent également un obstacle à la transition énergétique. Les obstacles portent aussi sur la transformation de la chaîne de valeur que certaines entreprises ne souhaitent pas engager. Enfin, le sujet manque encore d’une coordination à l’échelle européenne. 

Le rôle des banques dans la transition énergétique 

La transition énergétique va représenter un volume d'affaires considérable pour les banques. Mais comment savoir si ces dernières tiennent réellement leurs engagements sur le sujet ? David Benamou, Managing partner/ chief investment officer, directeur des investissements, Axiom Alternative Investments, détaille son point de vue côté investisseur : « Le secteur bancaire est, depuis 2008, le plus transparent de tous les secteurs d'activité. Malgré cela, nous n'avons pas les moyens d'évaluer correctement la performance climatique d'une banque. Toutes les notations fournies par les agences extra financières ne couvrent en effet pas l'essentiel du travail d'une banque, c’est-à-dire qui elles financent. Or il s'agit justement de l'élément clé pour comprendre l'impact des banques dans la transition énergétique. "

« Nous intégrons la sobriété carbone et le développement durable dans toutes nos actions publiques »

Jean-Léonce Dupont, président du Conseil départemental du Calvados

«D’abord parce qu’il s’agit d’un devoir de conformité légal, mais aussi, et surtout, par conviction, le département du Calvados mène de nombreuses actions liées à l’environnement et au développement durable. Nous agissons en intégrant la sobriété carbone et le développement durable dans toutes nos actions publiques : rénovation durable des collèges, décarbonation de la flotte de véhicules, insertion de clauses environnementales dans l’ensemble de nos marchés publics, sobriété numérique… Alors que le département gère également une quarantaine d’espaces naturels sensibles, ses objectifs de développement durable restent ambitieux, avec trois chantiers prioritaires : le soutien de la filière locale de bois-énergie, la rénovation thermique des bâtiments et la préservation de la ressource en eau et des environnements aquatiques. »

Time to Change

BIODIVERSITÉ

Une thématique d’investissement en devenir

Alors que les investisseurs ont déjà massivement déployé des stratégies d’investissement dédiées au…

Arnaud Lefebvre OPTION FINANCE 27/05/2022

Finance durable

Les investisseurs en ordre de marche

Sous l’effet notamment des évolutions réglementaires et de la pression de leurs clients, les…

Arnaud Lefebvre OPTION FINANCE 27/05/2022

ÉNERGIE

Les énergies renouvelables au service de la neutralité carbone

Les énergies renouvelables (EnR) sont alimentées par le soleil, le vent, la chaleur de la terre, les…

Anne Del Pozo OPTION FINANCE 27/05/2022

Les débats de l’Af2i 

L’ESG, au cœur des travaux et réflexions de l’Af2i

Arnaud Lefebvre OPTION FINANCE 27/05/2022

Dans la même rubrique

Réglementation sur la facturation électronique : freins et opportunités

Les intervenants : Olivier Taligault, global mandate program lead, Basware - Mélanie...

Facturation électronique : un défi de conformité mondiale

Au-delà de la France, de nombreux pays en Europe et dans le monde légifèrent autour de la...

Facture électronique : un report qui n’arrange pas forcément tout le monde

Si les premiers reports (2021, puis 2023) étaient au bénéfice des entreprises avec un délai...

Voir plus

Chargement en cours...

Chargement…