Après avoir notamment constaté des erreurs dans le calcul de sa taxe foncière, le réseau de distribution de pièces détachées Autodistribution a mis en place il y a deux ans une solution de gestion de ses impôts locaux. Un outil qui lui a permis de simplifier le suivi de sa fiscalité locale.
Les impôts locaux n’ont désormais plus de secret pour Autodistribution ! Pourtant, la taille de ce réseau de distribution de pièces détachées ne rendait pas le suivi de sa fiscalité locale (cotisation sur la valeur ajoutée (CVAE), cotisation foncière des entreprises (CFE) et taxe foncière principalement) particulièrement aisée. Avec 1,8 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2019, dont 1 milliard en France, le groupe compte 40 filiales dans l’Hexagone ainsi que 350 entrepôts de pièces détachées… et autant de baux commerciaux ! La structure de ses services support n’était pas de nature à simplifier la collecte des données fiscales. «Nous avons une organisation décentralisée : comprenant 5 back-offices comptables et de nombreux sites sur le territoire français, sans outil de suivi de nos impôts locaux commun, indique Bruno Gibaru, directeur fiscal du groupe Autodistribution. De ce fait, il était difficile d’avoir une base de données de nos impôts locaux cohérente en compilant nos données.»
Cette situation était source d’erreurs pour le calcul des impôts locaux du groupe. «D’une année à l’autre, il est arrivé que la taxe foncière augmente de 20 à 30 %, souligne Bruno Gibaru. Ces évolutions n’étaient pas justifiées. Nous avons notamment constaté des erreurs dans la définition des locaux : par exemple, des entrepôts étaient imposés à la taxe foncière comme un local commercial.»
En 2018, Autodistribution décide alors de mettre en place l’outil Optitaxes, commercialisé par...