Face à l’augmentation constante des prix de l’énergie et à la fin annoncée des tarifs réglementés, les entreprises se penchent de plus en plus sur l’optimisation de leur consommation. Une démarche qui passe par la remise à plat de la relation contractuelle avec leur fournisseur, par un examen des taxes acquittées, et un changement des comportements.
Si les entreprises se plaignent de la hausse de la fiscalité, la progression du budget lié à l’énergie continue également de les mettre sous pression. Ainsi, en dix ans, les tarifs du gaz en France ont crû de 40 %, et ceux de l’électricité, de 25 %. En effet, en La progression de ces derniers, pourtant déjà significative, n’est pourtant pas aussi forte qu’elle aurait pu l’être sur un marché entièrement concurrentiel. France, la montée des prix a été largement contenue parce que les tarifs réglementés, déterminés par un arrêté ministériel et proposés par EDF, ont été maintenus à des niveaux bas, inférieurs à ceux pratiqués par les concurrents. «Pour l’instant, les entreprises n’ont aucun intérêt à quitter le tarif réglementé pour réduire leur facture d’électricité», affirme Patrice Berruet, associé chez Euklead.
Si les entreprises se plaignent de la hausse de la fiscalité, la progression du budget lié à l’énergie continue également de les mettre sous pression. Ainsi, en dix ans, les tarifs du gaz en France ont crû de 40 %, et ceux de l’électricité, de 25 %. En effet, en La progression de ces derniers, pourtant déjà significative, n’est pourtant pas aussi forte qu’elle aurait pu l’être sur un marché entièrement concurrentiel. France, la montée des prix a été largement contenue parce que les tarifs réglementés, déterminés par un arrêté ministériel et proposés par EDF, ont été maintenus à des niveaux bas, inférieurs à ceux pratiqués par les concurrents. «Pour l’instant, les entreprises n’ont aucun intérêt à quitter le tarif réglementé pour réduire leur facture d’électricité», affirme Patrice Berruet, associé chez Euklead.